Rapport du GIEC et Industrie : comment lutter contre les effets du réchauffement climatique

agap2 oeuvre en faveur de l’environnement en répondant aux préconisations du GIEC

Rapport du GIEC : comment lutter contre les effets du réchauffement climatique

Le 4 avril dernier, le Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat, autrement appelé le GIEC, a publié un nouveau rapport qui se concentre sur diverses actions pour réduire les émissions de gaz à effet de serre. Son objectif : limiter les impacts dévastateurs du réchauffement climatique à 1,5 degré Celsius, convenu lors de la signature de l’Accord de Paris en 2015.

« Le jury a rendu son verdict. Et c’est accablant. Ce rapport du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat est une litanie de promesses climatiques non tenues. C’est un dossier de la honte, répertoriant les gages vides qui nous mettent résolument sur la voie vers un monde invivable. » Antonio Guterres, secrétaire général de l’ONU, le 4 avril 2022.

Des mots durs qui qualifient l’inaction face au changement climatique. Le GIEC liste pourtant les solutions pour limiter le réchauffement climatique à 2, voire 1 degré 5 d’ici la fin du siècle, dans son troisième et dernier volet de la série de rapports qu’il a publiés.

Comment agir pour limiter les conséquences du réchauffement climatique ? Quelles solutions l’ingénierie d’aujourd’hui a-t-elle à disposition pour pallier ces conséquences ? Comment les ingénieurs d’agap2 mettent-ils leur compétences au service d’une énergie plus verte ?

Rapport du GIEC : les solutions pour limiter le réchauffement climatique

Le dernier volet de ce sixième rapport du GIEC apporte des solutions techniques, sociales et technologiques pour réduire les émissions de CO₂. Afin de diminuer les émissions de 27 à 43 % en 2030 et de 63 à 84 % en 2050, les experts demandent des actions urgentes dans 4 domaines.

1‍. Choisir la sobriété énergétique

« La sobriété énergétique », qu’est-ce que c’est ? Elle consiste à réduire notre consommation d’énergie en modifiant nos habitudes. Ce sont des « petites actions » concrètes que chacun peut faire au quotidien. Par exemple : baisser le chauffage, privilégier le covoiturage ou les véhicules électriques, valoriser le télétravail, diminuer sa consommation de viande…

Le saviez-vous ?
Le secteur des transports représente 15 % des émissions mondiales. C’est le premier émetteur en France. Améliorer la qualité de l’air et la santé des populations pourrait être possible grâce à ces actions.

‍2. Utiliser les énergies renouvelables vs les énergies fossiles

Le GIEC requiert la généralisation des énergies renouvelables. D’après les experts, il y a urgence à sortir des énergies fossiles. Ainsi, la consommation de charbon doit baisser de 95 %, celle de pétrole de 60 % et celle de gaz de 40 % en 2050 par rapport à 2019. Comment ? Par l’utilisation de ressources renouvelables comme le solaire, l’éolien, l’hydraulique ou le nucléaire.

3. Augmenter les financements

Le rapport du GIEC stipule que les investissements nécessaires pour limiter les effets du réchauffement climatique sont moins élevés que la dégradation de l’environnement provoquée par le manque d’action des états et de populations. Les financements pour les années 2020 devraient être « 3 à 6 fois plus importants que les niveaux actuels ». Mais la majorité des financements, qu’ils soient privés ou publics, sont encore pour le compte des énergies fossiles.

‍4. Réussir à capter les émissions carbone

Eviter la catastrophe climatique, tel est l’objectif essentiel à la survie de notre planète. Il est donc capital d’éliminer les émissions de CO₂ dans l’atmosphère. C’est le secteur de l’agriculture qui est en grande partie responsable des émissions mondiales. Mais il n’y a pas que ce secteur qui peut les réduire. Voici les champs d’actions sur lesquels il est urgent d’intervenir :
– la gestion des cultures et des élevages
– la diminution de consommation de viande
– la préservation des forêts, marais, savanes…

agap2 intervient sur des projets en faveur de l’environnement, en répondant aux préconisations du GIEC

agap2, société d’ingénierie et de conseil opérationnel, accompagne les professionnels de l’industrie et de l’informatique depuis plus de 17 ans. Elle intervient dans plusieurs secteurs, notamment celui des énergies renouvelables et de l’environnement.

La question cruciale à laquelle les ingénieurs d’agap2 font face : « Comment répondre aux besoins croissants en énergie, tout en luttant contre le réchauffement climatique ? »

Les experts du GIEC préconisent de privilégier des mix énergétiques avec moins d’énergies fossiles et des énergies renouvelables plus performantes. Tel est le défi que doivent relever les industries aujourd’hui. Et chez agap2, les ingénieurs spécialisés dans le secteur de l’énergie l’ont bien intégré, en travaillant sur l’efficacité énergétique.

Le projet Celsius Energy : des agapiens sur un projet à fort enjeu

70% de l’énergie consommée par un bâtiment est utilisée pour le chauffage et la climatisation. Sous chaque bâtiment réside l’énergie prodigieuse du sol où il fait doux l’hiver et frais l’été. Le sol peut accumuler les calories estivales pour les réutiliser l’hiver, permettant un stockage inter-saisonnier d’énergie. En connectant les bâtiments à l’énergie continue et renouvelable de la Terre, on peut répondre aux besoins en chauffage et climatisation. La solution de Celsius Energy réside ainsi en l’installation des pompes à chaleur géothermique afin de maintenir le confort du bâtiment tout au long de l’année avec une énergie décarbonée.

« La solution de géo-énergie (ou géothermie de surface) pour le chauffage et la climatisation des bâtiments s’avère être une solution de premier ordre pour assurer aux occupants un confort thermique à faible émission carbone toute l’année et pour renforcer la souveraineté énergétique des pays… surtout avec la hausse des prix du gaz et de l’électricité. » explique Wael, agapien depuis le mois de février et dont les compétences en thermique, hydraulique et génie climatique lui ont permis d’intégrer le projet.

Idem avec Anthony dont les connaissances techniques acquises des systèmes de CVC (climatisation, ventilation, chauffage) sont sollicitées pour répondre au mieux à la solution de Celsius Energy :

« Mon expertise sert à conduire les opérations de travaux pour la mise en place de la PAC, suivre les consommations énergétiques du bâtiment, diagnostiquer des actions visant à optimiser la performance des systèmes énergétiques existants pour le client. Ce sujet est primordial pour maintenir la vie durable dans notre planète et de préserver sa qualité pour les générations futures. Mon objectif est d’être un acteur phare du changement sur nos modes de consommations d’énergie. Et si cette démarche écoresponsable donne de la valeur aux entreprises clientes et à leurs démarches RSE, je suis preneur. »